- Venez avec moi. Venez à leurs rencontres. (Aragorn) - Pour la mort et la gloire. (Théoden) - Pour le Rohan. Pour votre peuple. (Aragorn) - Le soleil se lève... (Gimli) - Attendez ma venue aux premières lueurs du 5ème jour. A l'aube, regardez à l'Est. (Voix de Gandalf) - Oui... Oui. Le cor de Elm, mes amis, va retentir dans le gouffre une dernière fois ! (Théoden) - Oui ! (Gimli) - Voici venue l'heure de tirer l'épée ensemble. (Théoden) (Le Seigneur des anneaux : Les Deux Tours)
- Venez avec moi. Venez à leurs rencontres. (Aragorn) - Pour la mort et la gloire. (Théoden) - Pour le Rohan. Pour votre peuple. (Aragorn) - Le soleil se lève... (Gimli) - Attendez ma venue aux premières lueurs du 5ème jour. A l'aube, regardez à l'Est. (Voix de Gandalf) - Oui... Oui. Le cor de Elm, mes amis, va retentir dans le gouffre une dernière fois ! (Théoden) - Oui ! (Gimli) - Voici venue l'heure de tirer l'épée ensemble. (Théoden)
- Tournez à gauche, Mr Kerbalec. A gauche ! Mais tournez putain de bordel, on va se planter là ! Oh ! Vous êtes bouché ou quoi ? Oh ! (L'examinateur du permis) (La voiture percute la vitrine et finit en plein milieu d'une boucherie) - Putain ! Putain mais c'est pas vrai ! Mais ça fait 10 ans que je fais ce métier mais j'ai jamais vu un débile pareil ! Faut vous envoyer un fax chaque fois qu'on tourne à gauche ? Mais à gauche, c'est à gauche putain ! Pas compliqué de tourner un volant et d'appuyer sur une pédale bordel ! (L'examinateur du permis) - Bah chacun son métier hein. (Emilien) - Quoi ? Mais c'est quoi votre métier ? (L'examinateur du permis) (Emilien montre son badge de policier à l'examinateur) - Enfin, fallait le dire plus tôt monsieur... (L'examinateur du permis) - Fallait vous envoyer un fax ? (Taxi)
- Tournez à gauche, Mr Kerbalec. A gauche ! Mais tournez putain de bordel, on va se planter là ! Oh ! Vous êtes bouché ou quoi ? Oh ! (L'examinateur du permis) (La voiture percute la vitrine et finit en plein milieu d'une boucherie) - Putain ! Putain mais c'est pas vrai ! Mais ça fait 10 ans que je fais ce métier mais j'ai jamais vu un débile pareil ! Faut vous envoyer un fax chaque fois qu'on tourne à gauche ? Mais à gauche, c'est à gauche putain ! Pas compliqué de tourner un volant et d'appuyer sur une pédale bordel ! (L'examinateur du permis) - Bah chacun son métier hein. (Emilien) - Quoi ? Mais c'est quoi votre métier ? (L'examinateur du permis) (Emilien montre son badge de policier à l'examinateur) - Enfin, fallait le dire plus tôt monsieur... (L'examinateur du permis) - Fallait vous envoyer un fax ?
- Tournez à gauche, Mr Kerbalec. A gauche ! Mais tournez putain de bordel, on va se planter là ! Oh ! Vous êtes bouché ou quoi ? Oh ! (L'examinateur du permis)
(La voiture percute la vitrine et finit en plein milieu d'une boucherie)
- Putain ! Putain mais c'est pas vrai ! Mais ça fait 10 ans que je fais ce métier mais j'ai jamais vu un débile pareil ! Faut vous envoyer un fax chaque fois qu'on tourne à gauche ? Mais à gauche, c'est à gauche putain ! Pas compliqué de tourner un volant et d'appuyer sur une pédale bordel ! (L'examinateur du permis) - Bah chacun son métier hein. (Emilien) - Quoi ? Mais c'est quoi votre métier ? (L'examinateur du permis)
(Emilien montre son badge de policier à l'examinateur)
- Enfin, fallait le dire plus tôt monsieur... (L'examinateur du permis) - Fallait vous envoyer un fax ?
Partir, c'est quitter son cocon, ouvrir ses ailes et s'envoler. C'est s'apercevoir qu'on n'est pas les seuls sur la planète, qu'on ne sait pas tout comme on le pensait. On devient plus humble, plus tolérant, un peu plus intelligent. (Pierre Fillit)
Partir, c'est quitter son cocon, ouvrir ses ailes et s'envoler. C'est s'apercevoir qu'on n'est pas les seuls sur la planète, qu'on ne sait pas tout comme on le pensait. On devient plus humble, plus tolérant, un peu plus intelligent.
Le mariage exige, pour être un succès, non seulement une attraction physique, mais de la volonté, de la patience, et une acceptation de « l'autre », toujours malaisée ; si ces conditions sont remplies, peut alors se former une belle et solide affection, un mélange unique d'amour, de sensualité et de respect. (André Maurois)
Le mariage exige, pour être un succès, non seulement une attraction physique, mais de la volonté, de la patience, et une acceptation de « l'autre », toujours malaisée ; si ces conditions sont remplies, peut alors se former une belle et solide affection, un mélange unique d'amour, de sensualité et de respect.
- T'es tendue comme une crampe. - Mais non, je suis pas tendue ! - Si, t'es tendue ! - Bah non. - Si je te dis que t'es tendue, t'es tendue ! C'est pas à toi de dire "je ne suis pas tendue" ! Je te dis t'es tendue Natacha c'est tout ! Tu me dis oui Claudy, c'est vrai je suis tendue, je ne suis pas à mon aise. Il faut que tu te laisses venir vers moi, et je viendrais te chercher t'inquiète pas.... (Dikkenek)
- T'es tendue comme une crampe. - Mais non, je suis pas tendue ! - Si, t'es tendue ! - Bah non. - Si je te dis que t'es tendue, t'es tendue ! C'est pas à toi de dire "je ne suis pas tendue" ! Je te dis t'es tendue Natacha c'est tout ! Tu me dis oui Claudy, c'est vrai je suis tendue, je ne suis pas à mon aise. Il faut que tu te laisses venir vers moi, et je viendrais te chercher t'inquiète pas....
Voilà ! Vois en moi l'image d'un humble vétéran de vaudeville, distribué vicieusement dans les rôles de victime et de vilain par les vicissitudes de la vie. Ce visage, plus qu'un vil vernis de vanité, est un vestige de la vox populi aujourd'hui vacante, évanouie. Cependant, cette vaillante visite d'une vexation passée se retrouve vivifiée et a fait vœu de vaincre cette vénale et virulente vermine vantant le vice et versant dans la vicieusement violente et vorace violation de la volition. Un seul verdict : la vengeance. Une vendetta telle une offrande votive mais pas en vain car sa valeur et sa véracité viendront un jour faire valoir le vigilant et le vertueux. En vérité ce velouté de verbiage vire vraiment au verbeux, alors laisse-moi simplement ajouter que c'est un véritable honneur que de te rencontrer. Appelle-moi V. (V) (V pour Vendetta)
Voilà ! Vois en moi l'image d'un humble vétéran de vaudeville, distribué vicieusement dans les rôles de victime et de vilain par les vicissitudes de la vie. Ce visage, plus qu'un vil vernis de vanité, est un vestige de la vox populi aujourd'hui vacante, évanouie. Cependant, cette vaillante visite d'une vexation passée se retrouve vivifiée et a fait vœu de vaincre cette vénale et virulente vermine vantant le vice et versant dans la vicieusement violente et vorace violation de la volition. Un seul verdict : la vengeance. Une vendetta telle une offrande votive mais pas en vain car sa valeur et sa véracité viendront un jour faire valoir le vigilant et le vertueux. En vérité ce velouté de verbiage vire vraiment au verbeux, alors laisse-moi simplement ajouter que c'est un véritable honneur que de te rencontrer. Appelle-moi V. (V)
Je crois que tout arrive pour une raison. Les gens changent afin que vous appreniez à les laisser partir, Les choses vont mal afin que vous puissiez les apprécier quand elles vont bien, Vous croyez aux mensonges afin de finir par apprendre à faire confiance à personne d'autre que vous-même, Et parfois de bonnes choses s'effondrent afin que de meilleures puissent naître. (Marilyn Monroe)
Je crois que tout arrive pour une raison. Les gens changent afin que vous appreniez à les laisser partir, Les choses vont mal afin que vous puissiez les apprécier quand elles vont bien, Vous croyez aux mensonges afin de finir par apprendre à faire confiance à personne d'autre que vous-même, Et parfois de bonnes choses s'effondrent afin que de meilleures puissent naître.
Je veux en finir avec tout ça... Je vous jure... Je suis fatigué, patron... Fatigué de devoir courir les routes et d'être seul comme un moineau sous la pluie... Fatigué d'avoir jamais un ami pour parler, pour me dire où on va, d'où on vient et pourquoi... Mais surtout, je suis fatigué de voir les hommes se battre les uns contre les autres... Je suis fatigué de toute la peine et la souffrance que je sens dans le monde... Y en a trop... C'est comme si j'avais des... des bouts de verres dans ma tête tout le temps... patron... Vous comprenez ? (John Coffey) (La Ligne Verte)
Je veux en finir avec tout ça... Je vous jure... Je suis fatigué, patron... Fatigué de devoir courir les routes et d'être seul comme un moineau sous la pluie... Fatigué d'avoir jamais un ami pour parler, pour me dire où on va, d'où on vient et pourquoi... Mais surtout, je suis fatigué de voir les hommes se battre les uns contre les autres... Je suis fatigué de toute la peine et la souffrance que je sens dans le monde... Y en a trop... C'est comme si j'avais des... des bouts de verres dans ma tête tout le temps... patron... Vous comprenez ? (John Coffey)
Le temps est souvent trop lent pour ceux qui attendent, Il est aussi trop rapide pour ceux qui craignent. Parfois, il peut paraître long pour ceux qui pleurent et il est si court pour ceux qui se réjouissent. Mais... pour ceux qui s'aiment... le temps n'existe pas... (Henry van Dyke)
Le temps est souvent trop lent pour ceux qui attendent, Il est aussi trop rapide pour ceux qui craignent. Parfois, il peut paraître long pour ceux qui pleurent et il est si court pour ceux qui se réjouissent. Mais... pour ceux qui s'aiment... le temps n'existe pas...
Je t'ai demandé si tu m'aimais bien, tu m'as répondu non. Je t'ai demandé si j'étais jolie, tu m'as répondu non. Je t'ai demandé si j'étais dans ton coeur, tu m'as répondu non. Je t'ai demandé si tu allais pleurer si je partais loin, tu m'as répondu non. Donc j'ai commencé à marcher, tu as attrapé ma main et tu m'as dit... Je ne t'aime pas bien, mais je t'aime. Tu n'es pas belle, tu es magnifique. Tu n'es pas dans mon coeur, tu es mon coeur. Et je ne vais pas pleurer si tu pars, mais je vais mourir.